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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 19:18

Bonsoir !

 

Oui,  j'avais été un ancien militant de base sans occupation d'un quelconque poste au sein de ma cellule d'affectation du parti du Front de Libération Nationale en tant que mouvement idéologique d'avant-garde révolutionnaire du mois de Février 1968 jusqu'à ma démission formulée le 15 Décembre 1989 et accéptée légalement par les instances organiques de la Kasma FLN de Bordj Bou-Arréridj.

 

J'assume pleinement et entièrement mon itinéraire sans aucun regret de quelque nature que ce soit.

 

Avec l'introduction de la loi 90/10 je me retrouve perplexe entre deux choix.

 

Demander ma réintégration et redémarrer à zéro ou alors m'engager dans un autre  parti,  à nouveau.

 

Au mois de Mars 1990,  j'avais alors choisi en mon âme et conscience de m'engager au sein du Front des Forces Socialistes fondé par Monsieur Hocine AIT AHMED lui-même ancien de la cause nationale au sein du Front de Libération Nationale 1954-1962.

 

L'ironie du sort avait voulu que je sois désigné le 9 Août 1990 comme coordinateur du Conseil de Wilaya pour le lancement des élèctions des bureaux des Conseils Communaux.

 

Le 9 Novembre 1990 nous avions alors tenu une réunion d'évaluation générale et faire des propositions à soumettre à la convention nationale du FFS devant se tenir dans le courant de ce même mois. Les APC  et les Daïras concérnées par les touches à ces structurations en étaient toutes informées par des LR  avec AR munies des copies des PV sur lesquels figuraient les noms des responsables nouvellement élus et ce-ci pour ne pas permettre des structurations paralléles clandestines pouvant emboîter le pas à la politique officielle du parti en question.

 

J'avais donc aussi,  participé aux marches du 31 Mai 1990, du 26 Décembre 1990 et du 2 Janvier 1992 tout comme aux assises du congrés constituf du parti convoqué au mois de Mars 1991 avec à la clef,  3200 délégués venus des 48 wilayas du pays.

 

A la séance de clôture des travaux,  un conseil national avait été élu et BBA avait été représenté par 3 Délégués dont je ne fais pas partie pour la seule et unique raison de mon indisponibilité professionnelle à la banque dont les guichets s'ouvrent au public les Jeudis. Comme chacun le sait, les manifestations politiques, syndicales, culturelles, etc, étc, en Algérie se faisaient généralement,  les Jeudis soir seulement.

 

Oui, j'avais été candidat dans la circonscription élèctorale d'El-Eulma (ex St Arnauld) aux législatives avortées du 26 Décembre 1991 et avais été classé 6ème avec la couleur du FFS sur les 13 partis en lisse sans que cette localité ne soit organiquement structurée, ni de conférence organisée ou de meeting tenu. Oui des erreurs avaient été commises par manque d'analyse et d'expérience comme par exemple l'affichage de mon portrait à El-Maïn alors que j'étais candidat à El Eulma. Cependant, une rectification avait été faite par moi sur le quotidien El Watan pour dire que la population et nous mêmes,  nous ôptons pour la confrontation et les choix des programmes mais pas des individus. Voilà tout.

 

Depuis le 31 Décembre 1998 je n'avais payé aucune cotisation. Depuis le mois de Séptembre 1999,  j'avais gelé toutes mes activités militantes au sein du FFS dont j'assume pleinement et entièrement cet itinéraire riche en évènements démocratiques, libertaires et légaux. Je n'avais depuis ni fait d'entraves à ce parti ou aux autres et ni aidé celui-ci ou les autres.

 

S'agissant de la question du 3ème mandat,  du premier ou du centième, ma vision personnelle et propre des choses n'est pas celle-là. Je me prononce résolument pour la justice sociale avec des régles du jeu claires nettes et précises. Je ne me revendique d'aucun parti et ni ne me constitue en opposant à quiconque parti ou candidat.

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