Le 54ème anniversaire de mon épouse Séhili Nédjma(étoile)bent Ilmane née à El-Maïn, m'offre l'occasion de soulever le problème de gestion d'un jeune libéré de prison, à la suite d'une grâce présidentielle devant être encadré, sécurisé et protégé juridiquement contre toutes formes de provocations, menaces, intimidations, préssions ou récupérations de quelques milieux que ce soit pour le refaire déraper et le rejeter à nouveau dans des centres de prévention, de rééducation et de réadaptation dont les termes symboliques doivent avoir une signification juridique donnée, à l'exemple de notre fils AMAROUCHE Amirouche Lakhdar Ingénieur d'application informatique, jeune indépendant du bureau MMACU fermé définitivement depuis le 18 Mai 2004 pour se reconvertir dans la formation à New forma. Si ce jeune apprend et entend des choses malsaines en prison, pourquoi alors le rejeter de-dans ?
Si ce jeune dispose d'une quelconque compétence de faussaire, d'escroc, de banditisme,d'abuseur de confiance, de recéleur et de trompeur dépassant celles de son propre père, d'un brigadier de gendarmerie nationale, de police judiciaire pouvant jouer le rôle de détécteurs étc, étc, elle ne peut être plus importante que celles de deux avocats coalisés pour faire front unique contre lui de façon à lui faire monter une histoire n'ayant rien à voir avec la réalité entre les faits qui lui sont reprochés en 2004 comparativement à ceux de 2006. Peut-on verser de l'argent à ce bonhomme présenté comme étant un tiers démarcheur sans carte proféssionnelle de représentation commerciale, exigence d'un reçu, et encore plus, sans documents justificatifs de transfert de propriété de la part du partenaire principal détenteur du produit à faire louer ni l'organisation d'une rencontre avec lui pour son identification ?
Un libérateur peut bénéficier de tous les égards et de tous les avantages, mais en aucun cas, il n'ouvre droit d'utiliser les enfants des autres comme boucs émissaires aprés les avoir reconvertis dans la malfaisance sous préssion incarcérale.
