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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 07:12
    • 4400 candidats aux élections locales par AMAROUCHE
        Bonjour !
      Oui vous pouvez dire ça, nous pouvons attendre à ce que feu : Frantz Fanon le militant soutenant la juste cause du peuple algérien pendant la guerre d’Algérie 1954-1962 à ce qu’il nous répond du fond de sa tombe tel que nous le disait l’un de nos lecteurs en réponse au commentaire paru sur l’article Condor....
      Un type né à Cherchar ou à Hasnaoua pourra-t-il faire cacheter son extrait des actes de naissances S 12 à l’A.P.C de B.B.A malgré une telle contradiction au regard de la loi ?
      Les communes créées lors du découpage administratif de 1984 délivrent-elles des extraits de naissances S 12 aux usagers citoyens nés sur leurs territoire depuis et qui les sollicitent ? Si oui est-ce-qu’elles pourront également le faire au regard des lois en vigueur à leurs aïeuls précédemment nés aux douars qui portent le même nom géographique tel que le stipulent les registres de l’état-civil précédemment gérés par un quelconque syndicat intercommunal et à quelle date ces documents étaient transférés de ceux-ci aux communes mères issues du regroupement de 1963 ?
      Commune El-Maïn Commune El-Maïn Le premier complot contre la commune El-Maïn s’était fait en 1963, le deuxième fait accompli subi mais jamais choisi par la population le 02 Janvier 1964, le troisième piège en 1983 et le dernier coup s’effectue en cette année 2012 avec le faux et l’usage du faux pour récupérer notre vieille et histoire contemporaine que favorisent certaines complicités fraternelles par l’effet de toutes ses causes de nuisances et de falscifications des données de notre état-civil pour qu’ensuite les informatiser, les numériser et les mémoriser sur une liste unique d’un faux lieu de naissance Djaâfra pour les populations nées à El-Maïn siège administratif. Les wilayas de Constantine, de Sétif, les daïras de Bordj Bou-Arréridj, de Bougaâ, les douars El-Maïn, El Colla, L’Djaâfra, Teffreg avaient également des numéros d’identifications nationales manuscrits ou numériques avant 1984. Pourquoi de nouvelles lois les avaient-elles changé ? Une législation, une loi, une note de service, une circulaire, une charte nationale et plus particulièrement une constitution pourra-t-elle changer un jour ou l’autre si elle n’est pas objective, adaptée aux réalités du présent oui ou non ? Les douars El-Maïn, Teffreg, El Colla pour ne citer que ceux-là supprimés du journal officiel de la république algérienne démocratique et populaire pour faire valoir uniquement El Kantina (Merdj Medjana, El Khadra en 1964) après le découpage du premier point géographique cité prête nom douar l’Djaâfra et attribuer à elle seule, un numéro d’identification nationale manuscrit ou numérisé avait-il changé pour en recevoir un autre en 1984 une fois les sus-dites localités étaient redevenues des sièges de communes auxquelles des numéros d’identification avaient été attribués ? Oui bien sûr que le siège actuel à la fois de la commune Djaâfra redevenue daïra encore une fois mère de ces petites localités économiquement et culturellement mineures bénéficie d’un nouveau numéro d’identification nationale raison pour laquelle les extraits des registres des actes de naissances se font informatiser ou numériser pièce par pièce chez elle. Mais où est le problème si ce n’est celui de la contradiction entre le nom du lieu de naissance porté sur l’acte et celui du cachet COMMUNE DJAÂFRA au lieu que ce soit celui de la COMMUNE réelle de naissance El-Maïn, Teffreg et Colla de tel(le) ou tel(le) individu(e) ? Pourquoi les registres tenus au par avant au syndicat intercommunal des Bibans transférés en 1983 à cette commune mère ne sont-ils pas décentralisés pour être gérés par les nouvelles communes nées du découpage administratif de 1984 ? Pourquoi nous dit-on la daïra de Djaâfra dispose déjà d’un numéro d’identification nationale que nul(le) ne pourra enlever ? Est-ce qu’il s’agit de ce sujet dans nos versions des faits soulevés si ce n’est la flagrante contradiction qui fausse notre état-civil et celui de nos Aïeuls ? Si les autorités voudront installer la capitale de l’Algérie à Djaâfra qu’est-ce-que ça peut nous foutre nous autres à El-Maïn, Teffreg et Colla si ces dernières ont la même position ? L’on nous parle d’archives historiques. Les nouvelles communes n’ouvrent-elles pas le droit dessus ? Une commune personne civique et morale a-t-elle une âme représentée par ses propres habitants nés là oui ou non ? A-t-elle une histoire propre a elle, une géographie, une participation à la révolution même si l’on taxe nos parents d’amis de la France. Qu’en dites-vous des retournements de vestes d’après ? Est-ce-que ce sont nos parents déjà morts en 1954 qui les avaient manipulés et achetés pour vendre pendant la guerre d’Algérie 1954-1962 ? Le site-in d’El-Maïn observé du 22 au 28 Avril 1982 avait-il vraiment amené les résidents de l’ex : douar EL-MAÏN à couper la route ? Les habitants des villages regroupés à Ti Aouïnine avaient-ils cassé, brisé ou fait du mal en revendiquant leurs droits les plus élémentaires lorsqu’il réclament le découpage administratif de Djaâfra siège de commune mère aux multiples changements de noms géographiques et sur quelle force de loi ? Une loi est-elle sacrée comme du coran pour ne pas être amendée, changée ? Si nous sommes des traîtres pourquoi cette attente jusqu’au jour comme aujourd’hui pour nous traiter ainsi au lieu que ce soit en 1962 ? Pourquoi ne n’ouvrez-vous pas un débat public pour parler de la traîtrise de nos parents si vraiment vous avez des preuves sur le sujet ? Mon jeune fils AMAROUCHE Belkacem né à Bordj Bou-Arréridj nouvellement élu député au parlement "al ghorfa soufla"par les algériens de l’étranger était mandaté le 10 Mai 2012 avait voulu participé aux débats sur la proposition d’une législation nationale en tant que règle à élaborer pour vivre ensemble en collectivité sans heurts dans la mesure du possible dans l’intérêt de l’ensemble du peuple algérien mais ce n’est nullement pour parler de l’histoire des registres de l’état-civil de sa famille, d’El-Maïn douar natal de ses parents, de ses aïeuls et de la Daïra de Djaâfra. Seul un Sénateur plus âgé et plus gradé que lui pourra peut être le faire à la tribune de l’ghorfa l’oulia. Si c’était moi son père AMAROUCHE Larbi dit Ahmed Salah ex : candidat aux législatives avortées du 26 Décembre 1991 porté sur la liste de la circonscription éléctorale d’El Eulma "La savante" ex : Saint-Arnaud wilaya de Sétif pour proposer le programme du F.F.S qui tombe 6 ème sur 13 partis en lice à ce moment là qui étais élu, je vous assure que je parlerai de ce flagrant arbitraire qui frappe le douar et la COMMUNE EL-MAÏN historique ne serait-ce que pour faire passer mon message pour qui pourra m’entendre et surtout m’écoûter très attentivement parmi les députés parlementaires. Cette commission créée spontanément pour descendue sur le terrain et qui avait négocié un marché avec les pseudos représentants du sit-in de la population pourquoi n’avait-elle jamais divulgué le secret de sa démarche sur l’identification et l’informatisation des registres de l’état-civil de gens nés au douar El-Maïn à faire cacheté du nom de Djaâfra au lieu de celui de la COMMUNE EL-MAÏN en projet de création à ce moment là et une fois créée. A quoi servent les élections si les mandatés à de telles missions n’assument pas leurs lourdes responsabilités et si les lois s’appliquent faussement sur le terrain ? Notre combat militant pacifique continue à court, moyen et long terme pour la restitution de nos registres ou du droit d’avoir le droit d’apposition du cachet rond de notre lieu de naissance EL-MAÏN en tout honneur et conscience. Je persiste et signe ma présente déclaration pour le compte de la Commune El-Maïn Commune El-Maïn : Larbi dit Ahmed Salah AMAROUCHE.
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    • Partout dans les villages de notre région
      , à l'image de toute l'Algérie, la population a répondu à l'appel du F.L.N/A.L.N. Les habitants s'organisent sous l'égide du F.L.N à faire face la guerre par tous les moyens et était décidée à combattre l'armée française en se mettant à ses côtés notamment après les grands désastres de 1956 opérés par l'aviation militaire.

      De jeunes volontaires s'engagent dans l'A.L.N et quittent leurs familles, leurs villages, leurs douars, pour monter au maquis.

      Des jeunes appelés au service militaire désertent l'armée française et rejoignent leurs frères combattants pour libérer leur pays de la domination coloniale.

      Parmi ceux-ci le jeune MEDGHAR Amar né le 17 Février 1934 au village BOUFENZAR, douar DJAÂFRA - Commune mixte des Bibans, canton judiciaire de Mansourah, arrondissement de Sétif, département de Constantine à l'âge de vingt trois ans qui déserte l'armée française en 1957 et qui à son tour décide de s'engager pour la libération nationale.

      Recherché sans être retrouvé chez sa famille au village, son père était hautement malmené par les soldats français.

      Il participe même à la bataille de Lemtardh "El Madjène au sein du groupe de la katiba de feu Seddik Ou Mahfi en 1957 lors d'un violent accrochage voulu par ce chef aguerri qui ne voulait pas quitter les lieux au moment où un autre accrochage se déroule au piton 1029 Adrar Ou Maza pour éviter une vengenance de l'armée française pouvant se replier dans ce village non loin de là,  raison pour laquelle cette présence du groupe avait été soufflée au capitaine Louis AUDRY du poste militaire avancé de Beni-Hafed situé à quelques quinze kilomètres à l'Est  et finit par décrocher pour monter à El-Maïn, puis Guelaguel chez ABDOUNE Saâd qui le conseille de quitter vite les lieux pour rejoindre le village voisin Ouled Sidi-Idir, rejoindre Toufirth où cette photo souvenir avait été faite avec l'un de ses jeunes compagnons d'armes à pieds bien sûr via Thiourirines Tizi-Aïdel, Tamokra et Tassiera à ce moment là.

      A l'indépendance de l'Algérie si Amar descend du maquis avec le grade de sergent et s'installe symboliquement à El-Maïn siège administratif montagneux, stratégiquement bien situé à quelques neuf cents mètres d'altitudes pour des motifs à la fois de fierté et de préservation de sa santé qui se dégrade à cause de ces faits d'armes étant tombé malade asmatique.

      L'asthme est une maladie inflammatoire des bronches, cette affection est caractérisée par des crises de dyspnée ou crises d'asthme (gêne respiratoire).

      Dès qu'une autre occasion sera donnée, d'autres versions des faits vous sera donnée pour complétée cette importante légende révolutionnaire de jeunes gens engagés volontaires en pleine guerre et ses conséquences les misères.

      ALditAS.
      Photo : Bonjour ! C'étaient la colère des hommes, leurs sacrifices suprêmes, leurs courages et leurs déterminations qui ont bousculé violemment l'histoire et lancé la révolution du premier Novembre 1954. Partout dans les villages de notre région, à l'image de toute l'Algérie, la population a répondu à l'appel du F.L.N/A.L.N. Les habitants s'organisent sous l'égide du F.L.N à faire face la guerre par tous les moyens et était décidée à combattre l'armée française en se mettant à ses côtés notamment après les grands désastres de 1956 opérés par l'aviation militaire. De jeunes volontaires s'engagent dans l'A.L.N et quittent leurs familles, leurs villages, leurs douars, pour monter au maquis. Des jeunes appelés au service militaire désertent l'armée française et rejoignent leurs frères combattants pour libérer leur pays de la domination coloniale. Parmi ceux-ci le jeune MEDGHAR Amar né le 17 Février 1934 au village BOUFENZAR, douar DJAÂFRA - Commune mixte des Bibans, canton judiciaire de Mansourah, arrondissement de Sétif, département de Constantine à l'âge de vingt trois ans qui déserte l'armée française en 1957 et qui à son tour décide de s'engager pour la libération nationale. Recherché sans être retrouvé chez sa famille au village, son père était hautement malmené par les soldats français. Il participe même à la bataille de Lemtardh "El Madjène au sein du groupe de la katiba de feu Seddik Ou Mahfi en 1957 lors d'un violent accrochage et finit par décrocher pour monter à El-Maïn, puis Guelaguel chez ABDOUNE Saâd qui le conseille de quitter vite les lieux pour rejoindre le village voisin Ouled Sidi-Idir, rejoindre Toufirth où cette photo souvenir avait été faite avec l'un de ses jeunes compagnons d'armes à pieds bien sûr via Thiourirines Tizi-Aïdel, Tamokra et Tassiera à ce moment là. A l'indépendance de l'Algérie si Amar descend du maquis avec le grade de sergent et s'installe symboliquement à El-Maïn siège administratif montagneux, stratégiquement bien situé à quelques neuf cents mètres d'altitudes pour des motifs à la fois de fierté et de préservation de sa santé qui se dégrade à cause de ces faits d'armes étant tombé malade asmatique. L'asthme est une maladie inflammatoire des bronches, cette affection est caractérisée par des crises de dyspnée ou crises d'asthme (gêne respiratoire). Dès qu'une autre occasion sera donnée, d'autres versions des faits vous sera donnée pour complétée cette importante légende révolutionnaire de jeunes gens engagés volontaires en pleine guerre et ses conséquences les misères. ALditAS.
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