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13 juillet 2006 4 13 /07 /juillet /2006 18:24

               Quelqu'en soit le confort dans lequel vit un jeune privé de sa liberté, l'enfermement prenant le nom qu'il voudra, eh oui, la prison est toujours une parenthèse ne pouvant s'appeler "Monoprix" ou "paradis."

               La grâce présidentielle colléctive intervient dans un contexte politique qui interpelle les consciences et les intélligences contributives à la refondation d'une pensée de lutte radicale contre les insolences et les violences qui menacent un pays classé à haut risque de contamination du danger à grande échelle.

            Cette mesure corrige surtout un vice de forme ou une procédure ayant entrainé une erreur judiciaire glissée sous la signature de ses auxiliaires se disant promenés en bateau par un jeune libéré de prison, alors qu'eux-mêmes participent à une action de malfaisance àpartir du moment qu'ils n'agissent en tant que défenseurs d'une partie cvile quelconque, mais se réclamant de la partie civile tout en négligeant d'assister une personne en danger mais encore plus contribuent à l'incitation à la débauche. Dans ces cas de figures, les jugements rendus définitivement doivent être absolument revus et corrigés ou les lois amendées, car il y a faute qui mérite réparation ou révision de la décision prise hâtivement lors d'une plaidoirie à charges sans aucune déchargeet ni circonstances atténuantes prises en considération.

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